Verzeichnis der Abbildungen. Abb. i Abb. 2 Abb. 3 Abb. 4 Abb. j Abb. 6 Abb. 7 Abb. 8 Abb. 9 Abb. io Abb. n Abb. 12 Abb. 13 Abb. 14 Abb. 15 Abb. 16 Abb. 17 Abb. 18 Abb. 19 Abb. 20 Abb. 21 Abb. 22 Abb. 23 Abb. 24 Jean Vebcr : „La Brüte est lächee“. Nach: Alexandre, L’Esprit fran- £ais, S. 3. Louis Raemaekers: „De Test ä Pouest, de Pouest a Pest (da capo al fine)“. Nach: La Grande Guerre par les Artistes, ohne Seitenzählung. Hermann-Paul: „Chez les Boches. Les derni^res pommes de terre.“ Aus: LA GUERRE SOCIALE 7—3—1915. Forain : „Inqui^tude. — Pourvu qu’ils tiennent! ... — Qui 5a? — Les civils!“ Aus: OPINION 9—1—1915. Forain: „Le permissionnaire s’en va. — Tu vois bien, mon enfant, que je ne pleure pas . . .“ Aus: OPINION 28—8—1915. O* G a 1 o p : „Jean qui pleure et Jean qui rit . . .“ Aus: „Le Trophäe du Kronprinz“, Chanson de la Revanche, Air Populaire. IMAGERIE D’EPINAL, N° 85, Maison Pellerin. Nach: Grand-Carteret, Verdun, S. 29. Jacques Nam: „L’ours et Paigle. — Tu cries d£jä! . . . Mais je ne suis encore que sur une aile . . .“ Nach: La Grande Guerre par les Artistes, ohne Seitenzählung. Faivre: „Je vous jure que les bureaux tiendront.“ Aus: ECHO DE PARIS 3—8—1915. Krieg slief eranten (aus dem SIMPLIZISSIMUS). Wiedergegeben in der FELDPOST Nr. 9, Januar 1916. Nach: Hansi et Tonnelat, Fig. 8”is, S. 29. Willette: „Ray£s de l’humanite.“ Aus: JOURNAL 17—4—1915. Forain * „Ce qu’un enfant peut comprendre.“ Nach Forain: De la Marne au Rhin, 16—4—1919. Albert Guillaume: „A Pagence Wolff.“ Aus: JOURNAL 8—11— 1915. Faivre: „Lourd, le sac?...“ Aus: ECHO DE PARIS 18—5—1915. Forain: „La philosophie du front.“ Aus: OPINION 3—4—1915. Faivre: „Les impatients. — Comme c’est long!“ Aus: CRI DE PARIS 25—4—1915. Faivre: „Le tacticien.“ Aus: ECHO DE PARIS 25—5—1915. Poulbot: „C’est sa main!“ Aus: JOURNAL 8—5—1915. Steinlen: „Les francs-tireurs.“ Aus: La Grande Guerre par les Artistes, ohne Seitenzählung. Paul I r i b e : „Le bon fils.“ Aus: JOURNAL 30—3—1915. Robida: „La Walkyrie.“ Aus: „Le Vautour de Prusse“, S. 37. Bering: „II creuse sa tombe.“ Aus: MATIN 20—3—1916. Steinlen: „N’oubl'ie jamais, Marianne, que c’est pour toi!“ Aus: LE CARNET DE LA SEMAINE 10—4—1915. Hermann-Paul: „Prisonniers, mais fiers.“ Aus: LA GUERRE SO¬ CIALE 2—10—1915. Hu ar d : „Mon ami, nous ne pouvons pas comparer . . .“ Aus: La Grande Guerre par les Artistes, ohne Seitenzählung. 151